Lettre d'Antigone pour Hemon.

                Mon chéri, mon amour,

          Je suis navrée de te faire de la peine de cette façon, mais, c’est quelque chose que je devais faire. Même si je savais quelles allaient être les conséquences.

La seule pensée de ne pas pouvoir être avec toi le reste de ma vie provoque en moi une grande peine. Voici mes raisons, j’espère pourras tu me pardonner

          Tout d’abord, c’est mon frère. Je ne pouvais laisser son âme erre dans notre monde a jamais.

Malgré ses actes d’ambition et ses essais d’assassiner mon père, il mérite le repos eternel pour que son âme soit en paix.

         De plus la façon dont Créon, mon oncle et ton père, a choisi lequel des deux méritait un enterrement digne d’un prince est inhumaine. Donc  qu’il s’agisse de Polynice ou Etéocle, j’aurais fais la même chose.

        D’un autre côte, la loi de Créon  interdit l’enterrement de Polynice. Et moi, j’ai décider de rompre cette règle. Il était donc oblige de me faire mourir.

Ne t’en prend pas à lui

         Voila mes raisons. Ne pense pas que j’ai arrêté de t’aimer.

          Je meurs, mais mon amour pour toi est aussi vivant que la première fois. Je t’aime et je veut que tu sache que tu m’as rendue très heureuse.

Ne pas pouvoir me marier avec toi, me brise le cœur mais, c’est peut être mieux comme cela.

 Mon dernier soupir, ma dernière pensée et mon dernier battement  son diriges vers toi.

Avec ma vie je défendrais notre amour.

 Tous nos sourires, bises et caresses resterons dans nos mémoires.

 Je te prie d’être heureux, de chercher notre petit garçon tan desire dans les bras de quelqu'un  d’autre. Promet moi que tu prendra soin de lui et que tu l’aimera comme personne d’autre peut aimer.

Si tu le désire, je reviendrais te voir chaque nuit dans tes rêves.

Sache, qu’il est tres difficil pour moi de te dire ceci, mais il faut que tu continue ta vie. On ser retrouvera au paradis, et la, on fera notre amour eternel.

                                                                                                      Je t’aime, je t’adore

                                                                                                           A jamais,

                                                                                                           Antigone.                  .